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le blog des séjours organisés par ACTISCE

Esira? ( t’as compris?)

mars5

Au contact des maliens, nous avons appris quelques mots de “bambara”, la langue parlée ici au Mali.

En voici quelques exemples :

awo : oui

ay : non

e toro?  comment t’appelles tu ?

ne toro … : je m’appelle …

iafama : pardon

djeli do : combien ça coûte?

Akachan : c’est trop

e ba dia djeli ? : tu me donnes combien?

E che kagni : tu es beau

e che magni : tu es laid
Les chiffres :

kélé : un, fila : deux, saba : trois, nani : quatre, dourou : cinq, woro : six, woro oula : sept, segi : 8, kononto : 9,Tan : 10

Les salutations :

Matin : i ni sogoma!

Midi : i ni tilé!

Après-midi : i ni wula!

Soir & Nuit : i ni su!  / (au pluriel aw ni sou)

Comment vas-tu ? : i ka kènè? (pour le pluriel= aw ka kénè)

Merci : i ni cè

Au revoir : Kanbé

04/03/2010

mars5

Depuis le début de ce séjour nous allons de découverte en découverte, de surprise en surprise. Et la journée d’hier n’est pas en reste. En effet, nous avons visité le barrage hydroélectrique de Sélingué, bu de l’eau chaude, et connu l’angoisse d’une panne en pleine cambrousse malienne. Nous avons également fait un tour à l’Artisanat de Bamako où nous avons (re)découvert le plaisir de la négociation avec des vendeurs aussi sympathiques que rusés.

Ces derniers jours ont été riches en rencontres et en échanges avec les élèves de Wacom et avec les danseurs, entre autres. Nous avons découvert la cuisine et la chaleur maliennes. Mais, de tous les faits marquants de ce voyage, ce qui restera, c’est la gentillesse des maliens.

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La danse africaine !

mars4

Parallèlement aux cours d’informatique, nous suivons des cours de danse malienne dirigés par Compo, un danseur exceptionnel ( voir charmant …) et sa troupe, ce qui nous a permis découvrir un peu plus la culture malienne.

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Cours d’informatique

mars2

Nous sommes à notre deuxième matinée au centre Wacom. Nous aidons de jeunes étudiants à utiliser l’outil informatique. Les élèves sont âgés de 20 à 25 ans environ. Ils ont envie d’apprendre et l’ambiance est bonne.

Ci-dessous quelques croquis de ces étudiants.

Un dimanche à Bamako…

mars1

Je pense que nous pourrions rebaptiser le dimanche 28 février en  Dimanche des surprises.

Surprise au réveil ou des 8h la température avoisine déjà les 26°C. Une chaleur prenante mais pas dérangeante. Un vent de bonne humeur souffle sur notre équipe et rafraichit l’atmosphère !

Surprise pendant notre petit déjeuner ou en plus d’avoir un repas complet, Olivier nous annonce le déroulement de la journée. Au programme :

·         Découverte du marché de Bamako

·         Déjeuner à l’hôtel

·         Rencontre avec nos partenaires de Wacom (lieu de formation informatique)

·         Découverte du lieu de formation

·         Diner dans un restaurant local.

Et la aussi des surprises nous attendent.

Le marché, fidèle aux traditions africaines est comparable à une brocante géante. L’agitation y est permanente, les stands débordent des boutiques et aux détours d’un sentier on découvre une multitude de petites galeries marchandes. Mais le plus impressionnant reste surement les couleurs. Un mélange de bleu, de rouge, de blanc, de jaune, de vert  qui vient se déverser sur un nombre incroyable d’objet plus varié les uns des autres. On trouve de tout, des pagnes, des chaussures, des serviettes, des cartes téléphoniques un tas de babioles et même des perruques et des mandolines (Olivia M en sait quelque chose).  

Les gens eux essaient bien sur d’attirer ton œil et de t’embarquer dans des marchandages sans fin.

Mais surprise encore ils ne sont pour la plupart ni collants ni embêtants. Au contraire certains sont drôles et une fois qu’ils voient que tu ne veux rien acheter viennent te parler et te raconter leur vie.

Seule difficulté, les photos. Nous n’avons pas osé dans cette première approche prendre de photos.

Mais ça n’est que partie remise et nous espérons pouvoir y retourner très vite pour vous montrer plein de belles images.

De retour à l’hôtel nous avons dégusté un couscous Arabe (cherché l’erreur) qui sans euphémisme  cette fois était drôlement bon.

C’est donc le ventre plein de bonnes choses que nous avons accueilli nos amis de Wacom. Nous avons discuté dans le jardin de l’hôtel avec eux des modalités de la formation, des horaires et des attentes des élèves. Nous avons aussi abordé le projet en général, ses ambitions et son fonctionnement.  Et comme il n’y a rien de mieux que de voir par soit même nous nous sommes embarqués dans le minibus pour aller voir les locaux (Cf article sur Wacom).

Enfin dernière et non des moindres surprises de ce dimanche surprenant : la soirée.

 La première impression du resto m’a tout de suite fait penser à un attrape touriste. La clientèle était majoritairement blanche et les menus écrient à la manière d’une brasserie française (du genre émincé de bœuf aux oignons confis). Mais voila surprise encore les dimanches à la Savana c’est Karaoké Night !!  Il fallait voir Awa et Olivia s’égosiller sur On va s’aimer accompagnées  d’Emilie et Mathilde à la chorégraphie. Un vrai bonheur !!

Finalement pour une première soirée avec nos amis de Wacom. Choisir la Savana c’est avéré être un choix génial.

Génial comme ce dimanche. 

Et Comme dirait notre amis Michel Vivement Dimanche Prochain.

Mais pas trop vite quand même…  

Vittorio

l’arrivée

mars1

ça y est !!

nous sommes arrivés à BAMAKO

tout s’est parfaitement déroulé, l’avion n’avait qu’une heure de retard.

à l’ouverture des portes de l’avion l’air à 36 ° nous a souhaité la bienvenue!!  le car navette de l’hôtel” La Chaumière” nous avait attendu, nous avons eu une petite viste de Bamako by night avant d’arriver à l’hôtel.

des que nous étions installés dans les chambres certaisn n’ont pas résisté à l’envie d’aller gouter l’eau de la piscine.

demain visite du marché et rencontre des partenaires locaux…

Photos Bamako

février10

Salut à tous,

Voici un site avec quelques photos de Bamako si ça vous intéresse pour ne pas être trop dépaysé en arrivant !

http://www.travelpod.com/travel-blog-city/Mali/Bamako/tpod.html

seconde réunion d’information “MALI”

février10

seconde réunion d’information au centre de la Bourdonnais en présence de Antoine GHARBI, directeur général adjoint de ACTISCE et de Mamadou DAGNO ancien salarié d’ACTISCE et actuellement installé à BAMAKO.
Mamadou nous donne de riches détails sur le quartier où nous serons logés ainsi que des informations utiles sur le climat etc.il sera là bas en même temps que nous et pourra nous aider pour certaines questions pratiques.


Les griots, une tradition africaine

février8

Voici des extraits de Wikipédia :

Le griot désigne un communicateur traditionnel.

La caste des griots est née puis s’est développée dans un contexte où n’existaient historiquement ni l’écriture (sauf pour les religieux), encore moins la radio et la télévision. Le griot est ainsi considéré comme étant notamment le dépositaire de la tradition orale. Les familles griotiques sont spécialisées soit en histoire du pays et en généalogie, soit en art oratoire, soit en pratique musicale. Les principaux groupes de griots ou communicateurs traditionnels sont appelés djéli en pays mandingue (ancien Empire du Mali).

Les liens du sang sont sacrés. Tout enfant est initié dès son plus jeune âge aux techniques et aux savoirs de sa caste. Ce sont les anciens qui forment les jeunes. Être griot, c’est donc appartenir à la caste des djélis (« sang »), caste qui peut être identifiée par le nom de famille : Kouyaté, Diabaté, Dramé, Niakaté, Soumano… Il n’est pas possible de passer d’une caste à une autre. De plus, les mariages exogames sont interdits. Les djéli, porteurs des savoirs et des mystères, ne peuvent épouser que des membres de leur caste afin de sauvegarder la djéliya et de préserver l’identité des djélis. Un enfant (fille ou garçon), né(e) dans une famille de djéli, reçoit l’instruction propre à sa caste, une instruction qui s’établit selon neuf paliers de sept années chacun, chaque pilier correspondant à une étape de la vie.

De nos jours, du fait de l’exode rural, de l’émigration et de la mondialisation, nombreux sont les enfants de griots qui ignorent tout des pratiques artistiques et des connaissances de leurs ancêtres. Par ailleurs, il est possible que des membres appartenant à d’autres castes accomplissent des fonctions de griots mais ceux-là ne peuvent être assimilés aux griots. Il en est ainsi de Salif Keïta (descendant de Sundjata Keita, caste des rois).

Bakary Soumano était le chef des griots du Mali. Né à Dravéla, Bamako en 1935, décédé le 21 juillet 2003. Il fut consultant pour l’UNESCO et participa à plusieurs séminaires et colloques sur les traditions dans des universités africaines, européenne et américaine). Pour Bakary Soumano « Le griot a une connaissance sociologique, anthropologique de ce pays, le tout dans une culture de l’oralité. Il la cultive par ses prestations de tous les jours, à toutes les occasions. Il essaye de maintenir les valeurs vivantes, il a une fonction d’éducateur… »

“En Afrique, quand un vieillard meurt, c’est une bibliothèque qui brûle”

février8

…Ce n’est pas moi qui le dit, mais l’auteur favori des Maliens qui lui ont dédié le Palais de la Culture éponyme à Bamako : Amadou Hampâté BÂ. Né en 1901 et mort en 1991, il a consacré sa vie sauver de l’oubli et mettre en valeur les traditions orales africaines en tant que source authentique de connaissances et partie intégrante du patrimoine culturel de l’humanité. Elu membre du Conseil exécutif de l’UNESCO en 1962, il est devenu pour l’Afrique noire le gardien de la mémoire, le défenseur vigilant d’une civilisation si longtemps méconnue.

Un bon moyen de préparer ce voyage serait donc de lire un de ses recueils de contes. Au choix :

  • Petit Bodiel et autres contes de la savane
  • Il n’y a pas de petite querelle
  • L’étrange destin de Wangrin
  • Contes initiatiques peuls
  • ses mémoires en 2 volumes : Amkoullel, l’enfant peul et Oui mon Commandant!

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